Le 16 avril

La Constance de l'éphémère / restitution
>> 16 avril à 19h au Bouillon , Université d'Orléans

« Vous en trouverez plus dans les bois que dans les livres.Les arbres et les pierres vous apprendront ce qui ne peut être appris des maîtres. » (Saint Bernard)

Qu’ont en commun l’art et la botanique ?

Une attention constante portée à l’éphémère. De la floraison à la performance, c’est le moment présent, l’instant de l’expression complète du geste qui nous touche par sa fragilité dans le temps et sa puissance dans l’ici et maintenant (l’hic and nunc).

Nous allons travailler sur l’idée d’écologie de l’attention. Chercher le macroscopique qui fait surgir la poésie et redonner du sens à notre rapport au monde autre qu’humain,. Nous devons regarder attentivement chaque entité qui constitue la trame du vivant, nous laisser émouvoir par elle, la comprendre pour ce qu’elle est et non ce que nous voudrions qu’elle soit, car c’est en changeant les imaginaires qu’on peut commencer à agir différemment

Un projet pluridisciplinaire mélant La danse et le mime, l’art plastique et la performance, la vidéo et la photographie, la marionnette et le jeu masqué, le théâtre d’improvisation.